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الإحتيال في البحث العلمي

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إعتماد تقنيات متطورة في الغش

بوابة التربية- خاص

يقدم عميد كلية العلوم السابق الدكتور علي منيمنة دراسة جديدة حول الغش أو الإحتيال في البحث العلمي وهو يمارس في أحسن جامعات العالم لتحسين وضعها التقيمي، والأستاذ يتقدم في وضعه الإداري والأكاديمي أمام زملائه. وهذه الدراسة هي باللغة الفرنسية لأنه توجد صعوبة لغوية تقنية لكتابتها باللغة العربية.

 

LA FRAUDE DANS LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

HONNETETE SCIENTIFIQUE

Pr.  ALI MNEIMNEH*

 

 

 

  1. INTRODUCTION

La recherche scientifique désigne en premier lieu l’ensemble des actions entreprises en vue de produire  et de développer les connaissances scientifiques.

Pouvons-nous parler de la fraude dans la recherche scientifique : ce n’est ni simple ni agréable Pourtant il s’agit d’une réalité qui frappe l’ensemble de la communauté des chercheurs scientifiques.

Quand on soulève la problématique de l’intégrité scientifique de quoi parle-t-on exactement ?

Que recouvre le terme fraude.

Nous allons essayer de tenter de comprendre comment la fraude est possible; pourquoi elle  survient  et par quels moyens la prévenir.

Nous devons signaler que nous faisons bien la distinction entre la fraude dans la recherche scientifique et l’ERREUR involontaire où la bonne foi des chercheurs n’est pas remise en cause.

  1. CLASSIFICATION DE LA FRAUDE SCIENTIFIQUE

La fraude scientifique peut prendre de multiples formes :

  1. La fabrication des données : C’est les inventer de toutes pièces ; qui consiste à forger de toutes pièces les résultats d’une recherche.
  2. La falsification des données : C’est les arranger; donc les modifie; ce qui revient à altérer intentionnellement des données de façon à les rendre plus conformes à l’hypothèse du chercheur.

La modification du plan d’expérience ou des résultats sous l’influence d’un bailleur de fonds; qui sous-tend la présentation de données scientifiques d’une manière qui donne l’apparence de la vérité tout en sachant très bien que ces données ne sont pas correctes.

  1. Le plagiat : C’est copier sans donner la référence de ce qu’on copie (c’est une usurpation de droit d’auteur).
  2. La publication multiple du même article dans différents journaux.
  3. L’exploitation, par un directeur des recherches, des collaborateurs et des étudiants.
  4. La citation : Tu me cite, je te cite, pour gonfler le CV.
  • EXEMPLES DE LA FRAUDE.

 

  L’histoire des sciences est émaillée d’exemples, parfois effarants, d’impostures.

 

  • Tout d’abord ; celui du médecin anglais Andrew Wakefield, qui a lancé une panique au quatre coins en publiant ; en 1998, une étude dans The Lancet dans laquelle il affirmait avoir établi un lien entre l’autisme doublé d’un problème intestinal et le vaccin  rougeole-oreillons- rubéole  (ROR). Un lien fabriqué de toutes pièces, selon l’enquête menée à la suite de cette étude. Du coup ,en 2010, The Lancet a retiré l’article controversé de toutes  ses archives et Wakefield a été rayé de la liste des médecins pour « FAUTE PROFESSIONNELLE GRAVE » interdit  d’exercer.
  • Lyssenko a truqué ses résultats pour étayer sa théorie de la transmission héréditaire des caractères acquis.
  • Le crâne (Le crâne est une structure osseuse ou cartilagineuse de la tête, caractéristique des crâniates (dont font partie les vertébrés). Le rôle principal du crâne est de protéger le système…) de l’homme de Piltdown (L’homme de Piltdown, Homo (Eoanthropus) Dawsoni a été considéré au début du XXe siècle comme un fossile de l’Acheuléen (Paléolithique inférieur), supposé avoir été le chaînon manquant entre le singe et l’homme en raison…), représentant à une époque le chaînon manquant entre les singes et les hominidés, était en fait une mâchoire de singe (Un singe (du latin simius, pluriel Simia) est un animal faisant partie du groupe constitué par l’ordre des primates. Parmi les primates, il n’est pas simple de définir à partir de quelle espèce, le terme de singe n’est plus…) sur un crane (Chez les vertébrés, le crâne est la partie supérieure du squelette. Il est essentiellement destiné à protéger le cerveau. Il repo
  • le physicien Jan Hendrik Schön alors aux Bell (Bell Aircraft Corporation est un constructeur aéronautique américain fondé le 10 juillet 1935. Après avoir construit des avions de combat durant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi…) Labs, a publié de nombreux d’article sur les nanotechnologies et notamment sur la supraconductivité (La supraconductivité est un phénomène survenant dans certains matériaux dits supraconducteurs. Il est caractérisé par l’absence de résistance électrique et l’annulation du champ magnétique à…) des molécules de carbone (Le carbone est un élément chimique de la famille des cristallogènes, de symbole C, de numéro atomique 6 et de masse atomique 12,0107.) sphériques jusqu’à ce que, en mai 2002, ses travaux fussent contestés et ses résultats dénoncés comme frauduleux.
  • Le Pr Joachim Boldt; allemand à la klinikum Ludwigshafen,un grand centre hospitalo-universitaire de la ville du même nom , s’est illustré dans un cas célèbre de fraude ayant conduit à la rétraction d’une étude publiée en décembre 2009 dans la revue Anesthesia & Analgesia. Les enquêtes devaient conclure à l’absence de documents attestant de l’existence de patients ayant participé à un quelconque essai clinique. De même, aucun résultat d’analyse biologique ne fut retrouvé pour chacun des patients. Au total,88 articles depuis 1999 firent l’objets de rétraction. Cet anesthésiologiste mondialement connu, qui avait réussi à endormir la vigilance des ses pairs, a depuis quitté l’Allemagne.
  • Le Dr Naouki Nakao est sans doute l’un des chercheurs fraudeurs dont la mauvaise conduite scientifique aura eu le plus de conséquences en thérapeutique. Ce médecin publie en janvier 2003 dans ce Lancet un article sur l’efficacité de l’association de deux médicaments antihypertenseurs : un antagoniste des récepteurs à l’angiotensine II (ARAII) et un inhibiteur de l’enzyme de conversion (IEC) dans le traitement de l’insuffisance rénale chez des malades non diabétiques. Cet article donnera lieu à plusieurs autres articles publiés dans d’autres revues scientifiques sur ce thème par ce même auteur. Selon le Wall Street Journal qui site SDI, firme spécialisé en audit dans le domaine de la recherche, environ 140000 patients était traités en 2008 par ce traitement combiné.

Cette même année, des médecins suisses trouvèrent que les résultats étaient trop beaux pour être vrais et alerta la direction du Lancet. Une enquête approfondie fut mené à l’hôpital de l’université Showa à Yokomama.

Elle révéla que l’essai clinique rapporté dans l’article paru cinq ans plus tôt dans le prestigieux journal médical n’avait pas obtenu le feu vert d’un comité d’éthique, qu’aucun consentement éclairé n’avait été recueilli auprès des patients participants à cette étude.

De plus, cet essai n’avait pas, comme il se doit, été conduit en double aveugle, à avoir que le traitement aurait dû être administré sans que les médecins et les patients ne sachent si le traitement administré était un médicament ou un placebo. Aussi incroyable que cela puisse paraître : aucun statisticien en charge de l’analyse des données n’avait pu être identifié.

Au total, la véracité des données ne pouvait être établie. Trois articles, dont celui paru dans The Lancet, furent rétractés par la suite. Selon un article paru en juillet 2012 dans la revue Pharmacotherapy, des milliers de patients sont encore aujourd’hui traités par cette association médicamenteuse malgré que la publication l’ayant promu a fait l’objet d’une rétractation. IL suffit d’ailleurs d’interroger la base de données biographiques PubMed pour constater que certains articles émanant du fraudeur ne sont toujours pas accompagnés d’une notice de rétractation.

  • Une autre affaire de fraude scientifique retentissante concerne le Pr Scott S. Renben. Cet anesthésiologiste à la Tufts University de Boston (Massachusetts, Etats-Unis) était un expert réputé dans le traitement de la douleur. Ses nombreuses publications attestaient de l’efficacité de certains antalgiques pour lutter contre les douleurs post – opératoires.

Il aura fallu une décennie pour qu’un un grand nombre de publications concernant l’utilisation de médicaments (inhibiteurs de la cyclo-oxygénase-2) dans la prise en charge de la douleur post- opératoire ne soit finalement retiré. Le médecin avait fabriqué la totalité des données de six essais cliniques. Au total, 24 articles rédigés par cet auteur ont été considérés comme reposant sur des données falsifiées et ont été rétractés.

Ce médecin dut payer une amende de 5000 dollars et fut contraint de rembourser plus de 361000 dollars aux compagnies pharmaceutiques qui avait financé ses travaux et renoncer à 50000 dollars d’actifs. IL fut par ailleurs condamné en 2010 à six mois de prison, assortis d’une durée de trois ans en liberté surveillée. Cette affaire mit un terme à sa carrière médicale.

  • L’exemple suivant est celui du Sud-Corén Hwang Woo-suk. Surnommé « le pionnier du clonage humain »,ce biologiste était devenu l’homme le plus populaire de Corée du Sud, mais aussi une vedette internationale, suite à deux articles, publiés par SCIENCE,en février 2004 et en mai 2005, dans lesquels il annonçait être le premier au monde à avoir réussi à cloner un embryon humain par technique du transfert de noyau et à en extraire des lignées de cellules souches .

Mais, en en novembre 2005, le scandale éclate : Science fait état d’ « erreurs », entre autres des photos dupliquées et des tableaux des données incohérents. En janvier 2006, les deux études sont officiellement rétractées. La supercherie venait d’être éventée par un comité d’experts de l’Université de Séoul : les cellules souches n’ont pas été produites par clonage et les résultats ont été « sciemment falsifiés ».

Pressenti pour décrocher un prix Nobel ‘ Hwang Woo –Suk a alors connu une disgrâce spectaculaire, au point d’être considéré comme un des plus imposteurs scientifiques de l’histoire.

  • En 2008 des chercheurs de Vienne « démontrent » que les ondes émises par les téléphones portables et les antennes relais causent des ruptures dans les brins d’ADN. Ce résultat affole la controverse sur le cancer de l’encéphale. Il se révèle qu’une technicienne de laboratoire, Elisabeth K, avait inventé toutes les données. Le nom de cette personne circule sur le Web. Nul n’aimerait être à sa place.
  • Un spécialiste en cristallographie nommé Murthy, travaillant à l’université d’Alabama, a inventé 11 structures de protéines ayant un rapport avec le virus de la dengue et le système immunitaire humain ; ses articles ont été cités plus de 450 fois, les structures ont été déposées dans la Protéine Data Bank (PDB). Il a fallu deux mois de travail pour prouver la fraude, sans compter le temps perdu par les chercheurs lancés sur de fausses pistes. Murphy continue de nier, mais sa réputation de tricheur est faite.
  • Le psychologue britannique Cyril Burt (1883-1971) qui étudia l’hérédité de l’intelligence sur des cohortes de jumeaux, fit une carrière honorable d’initiateur en génétique du comportement. En réexaminant après sa mort ses coefficients de corrélation, certains jugèrent qu’ils étaient trop beaux pour être vrais, et on le soupçonna d’avoir inventé une partie de ses données. On le soupçonna même de s’être inventé des collaborateurs. La controverse autour de l’affaire Burt n’est pas éteinte.
  • C’est en rentrant de vacances en août dernier que Pierre-Michel Forget, Maître de conférences auMuséum national d’histoire naturelle en a fait l’amère expérience. Quelques jours auparavant, Patrick Jansen, de l’université de Wageningen (Pays-Bas), est sollicité pour relire et évaluer un manuscrit soumis à la revue International Journal of Biodiversity and Conservation. Il n’en croit pas ses yeux: le texte qu’il a sous les yeux est copie- conforme à 90% d’un article qu’il a co-écrit avec Pierre-Michel Forget en 2007 et qui avait été publié dans Conservation Biology. Il faut dire que le pseudo-auteur Serge Valentin Pangou, directeur du Groupe d’étude et de recherche sur la diversité biologique (GERDIB) à Brazzaville», raconte encore Pierre-Michel Forget. Le copieur était dévoilé ce qu’a rapidement confirmé la revue. ne s’est guère embarrassé. Alors que l’étude de Forget et Jansen portait sur les effets négatifs de la chasse des animaux frugivores (qui mangent des fruits) dispersion des graines de l’arbre carapa que l’on trouve en Guyane française  et au Suriname, le  falsificateur l’a détournée sur l’arbre Moabi que l’on trouve notamment en République du Congo. «En-dehors de l’arbre et de la localité, les deux documents étaient presque identiques, y compris le texte, les figures, les  tableaux et les analyses statistiques» souligne le Muséum.
  • On en arrive à parler d’une « culture de la fraude ». Un article paru dans le New York Times (15 octobre 2010) et publié en français par Le Figaro, est intitulé « La fraude académique, sport national en Chine ». Il y est surtout question de plagiat. On apprend que, selon une étude officielle chinoise, « un tiers des 6 000 chercheurs travaillant dans les six plus grands instituts chinois ont reconnu avoir plagié ou fabriqué des données ».
  • Karl-Theodor zu Guttenberg: ministre allemand de la défense, poussé à la démission   en mars 2011 et déchu de son titre doctoral pour plagiat dans la rédaction de sa thèse de doctorat. Une analyse a montré que 95 % des pages de sa thèse contiennent des lignes plagiées (attention cependant à la subjectivité de ce chiffre, qui traite imparfaitement les références juridiques).
  • Esther Silvana Koch-Mehrin: euro- députée allemande, vice-présidente du parlement européen, à qui le titre de docteur fut retiré le 15 juin 2011 pour plagiat.

 

 

  1. POURQUOI LA FRAUDE SURVIENT ?

Aucun chercheur ne peut vouloir lucidement que sa carrière soit ruinée ou sa mémoire salie. En conséquence, ou bien le fraudeur ignore qu’il triche, ou bien (s’il en est conscient) il croit que le risque d’être démasqué est négligeable par rapport à l’avantage que donne la tricherie.

La principale cause de la FRAUDE SCIENTIFIQUE est le fait que la carrière des chercheurs  dépend de leurs résultats : recrutements, promotions, voir simplement à accroître leur prestige parmi leurs pairs, etc.., se font le plus souvent au vu de la production scientifique, c’est-à-dire essentiellement des publications scientifiques.IL peut donc être tendant d’augmenter artificiellement ce nombre. Les équipes et laboratoires sont en concurrence, et chacun essaye d’apparaître comme le meilleur ; le premier si possible.

Comme par ailleurs le ranking des institutions dépend du score de ses membres, on comprend aussi qu’elles ne mettent pas toutes le plus grand zèle à réprimer de telles pratiques.

Né aux Etats-Unis dans les années 1950, l’impératif « publie ou péris »(publish or perish) avait été mal accueilli par la communauté. Mais, au cours des années 1980, les administrateurs des universités se sont mis à mesurer la productivité de leurs chercheurs au nombre de leurs publications, et, quand les promotions et crédits de recherche ont commencé à dépendre de ces évaluations quantitatives, on a vu exploser le nombre des publications scientifiques et les expériences avec des protocoles pas toujours rigoureux sur le plan statistique.

Les chercheurs, qui savent le système pervers, ont réagi en développant des indices bibliométriques, fondés sur le nombre de citations dans des articles. Mais ce système a été dévoyé (je te cite, tu me cite) et il favorise encore plus l’inflation des publications.

Si le chercheur qui fraude s’adresse à un public hors la communauté scientifique. Les rumeurs se propagent vite, les gens tendent à les croire ; par exemple, les malades en impasse thérapeutique sont vulnérables à des promesses dont ils ne peuvent guère juger la fiabilité, et dans ces conditions les fanfaronnades de faux savants, même démenties par des scientifiques plus sérieux, peuvent assurer aux tricheurs une relative sécurité et des profits considérables (ce qu’on observe, par exemple, sur le marché des thérapies dites « régénératives »).

On en vient à la conclusion provisoire que le chercheur qui fraude pense que sa fraude ne sera pas détectée (pas vu … pas pris … pas puni). Situation embarrassante : la proportion des fraudes non détectées n’est pas connue, la fraude et sa détection coûtent cher (temps perdu, fonds gaspillés), et les bailleurs de fonds peuvent demander des comptes.

  1. LA FRAUDE SCIENTIFIQUE AUGMENT- ELLE ?

La réponse à cette question est affirmative car il ya un demi-siècle la recherche scientifique se faisait dans les pays développés comme l’Europe, les Etats-Unis,  Union-Soviétique. Le nombre des universités, des centres des recherches scientifiques, et les chercheurs n’étaient pas assez grand d’où la contrôle de la qualité de la recherche scientifique était fortement assuré.

Mais maintenant tout le monde sur notre TERRE prétende qu’il fait « la recherche scientifique ».Nous avons des milliers des universités (publics ou privées) et des centres des recherches scientifiques. Le nombre des chercheurs  a explosé ; chacun a la volonté d’être le premier pour avoir un poste ou une promotion ou un projet ……..

Le nombre des journaux et des revues scientifiques a multiplié plusieurs fois sans compter les journaux et les revues électroniques .Tous demandent des publications.

Les bailleurs de fonds ont un rôle à jouer pour la qualité des publications.

La justice intervient rarement dans des affaires de fraude scientifique.

 

 

  1. POUVONS-NOUS ARRETER LA FRAUDE SCIENTIFIQUE ?

Il faut rester optimisme nos communautés scientifiques sont heureusement loin d’être peuplées de fraudeurs. Mais il n’a pas trop tôt pour réfléchir aux moyens pour arrêter cette dérive parmi eux :

 

  1. Etablir une CHARTE INTERNATIONALE sur l’intégrité et l’honnêteté de la recherche scientifique qui sera comme une ligne directrice pour tous les directeurs et directrices de la recherches, les chercheurs, les thésards, les étudiants en masters, les journaux et les revues scientifiques, les bailleurs de fonds, et chaque responsable de la recherche scientifique. Dans le but de garantir l’intégrité scientifique et de répondre au comportement incorrect en milieu scientifique.

 

  1. Faire enseigner cette charte aux étudiants des masters dans un cours qui comprend aussi la méthodologie, le lieu, le projet, le financement, l’histoire, de la recherche scientifique.

 

  1. IL faut que cette charte précise les critères des punitions suivant le degré et la nature de la fraude scientifique.
  1. Faire créer une Platform Internationale qui contiendra toutes les publications en Obligeant toutes les journaux et les revues de mettre leurs publications sur le site  de cette Platform sous la condition de sanctionner le journal ou la revue.
  1. Faire créer dans chaque établissement (université, centre ….) un comité d’éthique qui surveille l’intégrité et l’honnêteté de la recherche scientifique au sein de l’établissement.

 

  • CONCLUSION

IL ne faut pas laisser ces quelques fraudeurs cachent ou troublent la réalité que les chercheurs scientifiques honnêtes, pendant des siècles, ont fait avancer la recherche scientifiques dans toutes les disciplines : médecin, biologie animale, biologie végétale, pharmaceutique, informatique, électronique, les moyens des télécommunications, aéronautique, instrumentations, laser, calculs numériques, bien sûr pour l’intérêt de l’humanité. 

Référence

1-La revue FNRS Belge numéro 93 juin 2013.

2- Des sites de l’internet.

 

* Professeur des mathématiques à la faculté des sciences de l’Université Libanaise.

Ex doyen de la faculté des sciences.

Membre du bureau de la CIRUISEF Sciences et Technologie.

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